Quand on part ...
On ne sait jamais qu'on part - quand on part -
On plaisante, on ferme la porte
Le Destin, qui suit, derrière nous la verrouille
Et jamais plus on ne l'aborde
(Lettre à Frances Norcross)
On plaisante, on ferme la porte
Le Destin, qui suit, derrière nous la verrouille
Et jamais plus on ne l'aborde
(Lettre à Frances Norcross)
3 Comments:
We never know we go - when we are going -
We jest ans shut the door
Fate following behind us bolts it
And we accost no more
(Lettre à Frances Norcross)
1881. En deux exemplaires. L'un est écrit au crayon sur deux fragments de papier épinglés ensemble. L'autre conclut une lettre envoyée à la mi-avril à Frances Norcross, où l'on peut lire : "Il est saisissant de penser que les lèvres, gardiennes de pensées aussi magiques, peuvent à tous moment être soumises à l'isolement de la mort." Le quatrain suit cette phrase : "je dois vous laisser, chère, pour revenir peut-être,". Une variante est indiquée au v.4 : we accost no more / we know no more (nous ne connaissons plus).
1881. In two specimens. One is written with the pencil on two paper fragments pinned together. The other concludes a letter sent to mid-April with Frances Norcross, where one can read: "It is seizing to think that the lips, guardians of thoughts so magic, can at all time being subjected to the insulation of death." The quatrain follows this sentence: "I must leave you, expensive, to perhaps return,". an alternative is indicated to the v.4: we accost No more/we know No more (we do not know any more).
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